Le visar
employé pour mesurer le courant amplifié dans ce tir n'a pas permis
de mesure de la chronologie, car un choc s'est formé dans l'épaisseur de l'échantillon.
On ne dispose donc que de la valeur maximum mesurée par ce dernier, soit
(pression de
).
Le courant amplifié issu de la simulation numérique Mach2
(
) est
très proche du courant mesuré par le visar. Le temps auquel le maximum est atteint
est en accord avec celui donné par la Bdot
, mais celle-ci indique une amplitude
très faible. De plus, avant le crowbar, cette Bdot
placée dans la charge ne
voit pas le même courant que celle placée dans le niveau D (secondaire), ce qui
permet de penser que la Bdot
de la charge n'a pas fonctionné
convenablement.
Mathias.Bavay_at_ingenieurs-supelec.org - juillet 2002